Campo Ma’an Magazine (Réseau Africain Forêts Modèles)
Musée de l’Arbre: Une idée novatrice de valorisation des ressources naturelles du Parc
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Genèse du Concept du Musée de l’Arbre sur le site de CAMPO
La lumière de la définition du Petit Larousse, un musée est présenté comme « un lieu où est conservée, exposée, mise en valeur une collection d’oeuvres d’art, d’objet d’intérêt culturel, scientifique ou technique ». En combinant à la fois, l’impressionnant système racinaire observable de l’arbre localement dénommé Alep (Desbordesia glaucescens de la famille des Irvingiacée), la diversité et la richesse artistique de la dizaine de tableaux matérialisés dessus, le site est désormais un point d’attraction phare et incontournable de la zone SUD du Parc National de Campo Ma’an. Beaucoup considère cet arbre et probablement à juste titre comme le « Roi de l’Ile de DIPIKAR ».
Il faut dire que l’histoire a commencé un jour du mois de Mai 2011 au cours d’une expédition de l’équipe en charge de la mise en place du programme d’habituation des gorilles. En effet, à l’occasion d’une mission de pistage des gorilles, conduite respectivement par Nadège WANGUE (WWF Kudu Zombo) et Olivia HAGGIS (Projet Grands Singes), accompagné d’une équipe mixte de guides locaux, composée de Bantous et des Bagyéli, ce spécimen a été découvert avec stupéfaction. Les missions de prospection ultérieures, dont certaines avec le concours des équipes de RFAM (Réseau Africain des Forêts Modèles), ont permis de mettre en évidence la présence d’autres spécimen aussi impressionnants que ce dernier. Cette découverte, couplée au travail de décoration réalisé ouvre naturellement des perspectives nouvelles.
En effet, on peut envisager de développer un circuit spécial complet avec 2 ou 3 autres arbres. Il est même possible d’élargir les horizons vers la création d’un « Musée Naturel » permettant d’observer des sites de concentration faunique et d’autres représentants illustratifs de la forêt locale ou le repérage des vestiges de l’époque Allemande au Cameroun.
El primero. Según De Camino, este es el primer Museo en el Bosque en el mundo, pero se espera que hayan muchos más. Para ello, el ingeniero forestal cuenta con el apoyo de la Red Iberoamericana de Bosques Modelo (RIABM) y la Red Internacional de Bosques Modelo (RIBM).
La iniciativa que surgió como homenaje al Año Internacional de los Bosques – 2011 de la Red Iberoamericana de Bosques Modelo, Red Internacional de Bosques Modelo y el CATIE (Centro Agronómico Tropical de Investigación y Enseñanza) . Este año recibió el apoyo de Brasil, Camerún, Canadá, Paraguay, Costa Rica y Argentina, siendo el Parque Nacional Lago Puelo el único sitio de nuestro país donde se ejecutó el proyecto.
La pintura artística en el árbol del Jardín Botánico fue realizada como parte del proyecto de graduación del pintor costarricense Charles Veiman.
Los Museos en los Bosques pueden incluir expresiones artísticas de toda clase, pueden no sólo incluir árboles pintados, sino también otras formas artísticas, como intervenciones de luz, textiles, vidrio, esculturas de madera, entre otras.
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